A l’heure du tout numérique, les maisons intelligentes tendent à se développer de plus en plus, en proposant des solutions novatrices pour les consommateurs. Une situation qui pousse Microsoft à investir dans ce domaine afin de donner encore plus de connectivité à son dernier système d’exploitation, tout en essayant de rattraper son retard sur Amazon et Google.

Home Hub, la botte secrète de Microsoft

Voilà déjà quelque temps que les nouvelles technologies se sont tournées presque exclusivement vers les objets connectés, avec la smartwatch et la smartTV, ce n’était qu’une question de temps avant que la « SmartHome » ne devienne un nouveau marché pour les géants de la Silicon Valley.
Microsoft serait en train de travailler sur une application qui viendrait s’exécuter sous Windows 10 et ayant pour nom « Home Hub ». Grâce à cette application, il serait possible de contrôler directement tous les objets connectés pour la maison à partir de son ordinateur ou de sa tablette, pour peu que ces derniers tournent sous Windows 10 ou un autre OS compatible. Microsoft peut aussi compter sur l’intelligence artificielle avancée de son assistant vocal « Cortana » qui permettra un pilotage direct de ces appareils connectés par la voix.

La domotique pour tous

Si Microsoft souhaite investir dans la domotique pour la maison, c’est aussi afin d’en vulgariser le concept tout en faisant concurrence aux précurseurs dans le domaine. Amazon a été la première firme à investir les lieux avec son projet domotique pilotable par la voix, muni du système vocal Echo. Cet assistant vocal en domotique permet de dicter des commandes directement à une enceinte reliée à une intelligence artificielle. Parallèlement, Google a commercialisé son « Google Home » en novembre 2016, basé sur le même principe domotique qui permet de « parler » à sa télévision pour choisir son programme ou lancer un film en particulier. Là encore, une intelligence artificielle donne la possibilité d’interagir directement avec plusieurs objets connectés dans la maison, uniquement grâce à la voix. Une innovation qui passionne de plus en plus les férus de nouvelles technologies, mais aussi le grand public.

Microsoft marque sa différence

Là où Microsoft se démarque de la concurrence, c’est dans la forme que prendra son service domotique. En effet, le but de Microsoft n’est pas de proposer une enceinte ayant une reconnaissance vocale, mais plutôt un logiciel. De ce fait, il sera possible à d’autres entreprises du monde entier d’utiliser ce support pour proposer leurs services dessus. Microsoft n’envisage pas non plus d’avoir ses propres appareils connectés, ce qui veut dire que le géant américain est obligé de tout miser sur la compatibilité globale de son logiciel. Ainsi, Home Hub devrait fonctionner avec les appareils intelligents de différentes marques pour ne pas en brider le potentiel. Un avantage certain qui ne va pas handicaper les consommateurs en les obligeant à investir uniquement dans les produits Microsoft. Enfin, il y a fort à parier qu’avec cette stratégie d’ouverture, Microsoft apportera un souffle nouveau à la domotique, tout en motivant de nouveaux investisseurs à se pencher sur la question des maisons connectées.

Le rideau est tombé, le jeudi 4 juin 2015, au Sofitel Hôtel Ivoire, à Cocody, sur le marché panafricain de la création, de la production et de la distribution de contenus audiovisuels dénommé Discop Abidjan 2015.

Etaient présents à ce Discop, organisé pour la première fois à Abidjan, les principaux acteurs du secteur audiovisuel francophone. Des groupes internationaux et sociétés locales de production, diffusion dont des chaînes et opérateurs TV et distribution, des publicitaires, des consultants, des experts, des acteurs publics…

L’objectif de cette plate-forme était de faire en sorte que l’offre et la demande de programmes TV et contenus audiovisuels se rencontrent. Le résultat s’est mesuré en centaines de milliers de dollars d’investissements au bénéfice du secteur audiovisuel africain. L’entrée dans l’ère du numérique et le lancement de la TNT était également au programme. D’ailleurs, dans le cadre de cette 10ème édition du Discop, une libre discussion dédiée à l’ensemble des experts de l’audiovisuel, initiée par la société Côte Ouest, a eu lieu à l’ouverture de ce marché le 2 juin 2015, sur le thème : ” L’Afrique à l’ère du numérique : enjeux et opportunités “. Cette discussion enrichissante a porté sur trois grands axes. A savoir : les généralités à propos du numérique et l’état des lieux de la transition au numérique terrestre en Afrique francophone, les impacts de cette révolution sur notre industrie, la fourniture de contenu et les habitudes de consommation de l’image et finalement les opportunités en termes de modèle d’affaires.

Selon Jean Philippe Kaboré, président du Comité national de migration vers la télévision numérique de terre, une structure mise en place par l’État de Côte d’Ivoire, la libéralisation du marché audiovisuel est une préoccupation du gouvernement ivoirien. Relativement à la TNT en Côte d’Ivoire, à l’en croire, le pays va commencer à expérimenter la TNT à la fin 2015, enclenchant la mise à niveau de son réseau terrestre en numérique sur 35 points de diffusion à travers le pays. « La TNT sera officiellement lancée après le pilote avec probablement 10 chaînes… plus des options TV payantes – et va opérer la coupure de l’analogique lorsque 80% de la population sera couverte avec un taux élevé d’adoption, sans doute d’ici 2017 », a-t-il indiqué, avant de faire savoir que la Côte d’Ivoire a officiellement jusqu’à 2020 pour compléter le processus. «Un appel à candidature de plates-formes de télévision payante sera bientôt lancé », a-t-il annoncé.

Des acteurs anglophones étaient également sur place, tels qu’Iroko, VOA, Turner, et des producteurs du Kenya et du Nigeria, ainsi qu’une délégation d’Afrique du Sud. Des assises qui ont également été enrichies par les interventions du Pdg de BBlack TV, David Monsoh, du Dg de la Rti, Ahmadou Bakayoko, de celles de Nathalie Folloroux, Marketing Editorial, Canal+ Overseas, de Mamadou Latif Toungara, président de la Conférence des producteurs audiovisuels de Côte d’Ivoire (Cpaci) et de Fadika Kramo Lanciné, Dg de l’Office national du cinéma ivoirien (Onac-ci).

Au même titre que pour la télésurveillance, tout le monde peut bénéficier de la video surveillance pour son domicile.

Cela permet de surveiller et sécuriser ses biens lorsqu’on est absent ou éloigné (ex. : maison secondaire).

Il s’agit d’installer des caméras de surveillance afin de filmer l’intérieur et les abords de la maison :

  • ces caméras sont reliées à un écran (moniteur) qui permet de visionner les images et de les enregistrer (selon le modèle) ;
  • équipées de capteurs (son, mouvement, chaleur…), les caméras donnent l’alerte quand une anomalie est détectée : l’alarme sonne, ce qui fait fuir l’intrus et alerte le voisinage ;
  • selon le système de video surveillance maison choisi, l’alerte peut être transmise au propriétaire ou à une autre personne désignée (par téléphone, SMS, mail…) ou à unesociété de videosurveillance qui prend alors les mesures prévues dans le contrat.

(Source: http://videosurveillance.comprendrechoisir.com/)